Sang famille - @michelbussi

Sang famille  – Michel Bussi

Nombre de pages :  520

Edition : Presses de la cité (16 mai 2018)

Format : numérique

L’auteur :

Professeur de géographie à l'université de Rouen, Michel Bussi est devenu le deuxième auteur français le plus lu en 2016 et le premier auteur français de romans policiers en 2015. Il est l'auteur aux Presses de la Cité de Nymphéas noirs, polar français le plus primé en 2011, Un avion sans elle, Ne lâche pas ma main, N'oublier jamais, Gravé dans le sable (2014), Maman a tort (2015) et Le temps est assassin (2016).
Ses ouvrages sont traduits en 34 langues et les droits de ses romans ont été vendus pour le cinéma et la télévision.

L’histoire :

" Tel un soleil brutal, la lumière du phare des Enchaînés inonde la pièce. Une seconde à peine. Puis l'obscurité reprend le dessus, simplement percée du halo des lampes torches.

Je vais mourir ici.
C'est une certitude.
Une seule question me hante, la dernière : jusqu'où sont-ils prêts à aller pour me faire avouer ? A fouiller ma mémoire, comme s'ils pouvaient en arracher les souvenirs qu'ils convoitent ?

Tout est allé si vite, à peine quatre jours.
Je n'étais alors qu'un adolescent parmi d'autres.
Un orphelin.
C'est du moins ce qu'on avait toujours voulu me faire croire... "

La structure du récit :

Le récit se déroule sur quatre jours mais j'ai l'impression qu'ils duraient chacun une éternité. Il est trop long.

Le sujet du livre :

Un adolescent est parti dans un camp d'ado sur l'île de Mornesey, pour une raison bien précise. Mis cela ne pas se dérouler comme il le pensait.

Les thèmes :

- famille,

- non-dits,

- secrets,

- orphelin de parents,

- vacance,

- île normande.

Les personnages principaux :

l'ado : orphelin de père et de mère quand il avait six ans. On lui a souvent répété que c'était un accident mais a de sérieux doutes. Dix ans après avoir quitté son île, il y revient à travers un camp d'ado pour tenter de comprendre la raison de la mort de ses parents. 

Armand : ado de quinze ans qui en parait douze. N'en fout pas une lors des sorties voiles.

Simon Casanova : cet été, il est emploi jeune sur l'île, comme chargé de la sécurité sur la voie publique et aide à la mairie. Ce gaillard d'un mètre quatre-vingt n'est pas spécialement fan de son nom de famille. 

Didier Delpech : patron du seul journal de l'île "l’îlien". C'est un ancien du journal "Libération". La plume affûtée, cynique, drôle. Dans la cinquantaine grisonnante, il joue les beaux gosses.

Le décor :

Il se déroule sur toute l’île de Mornesey. Pas bien grande mais il y a d e quoi faire.

La tonalité et l’atmosphère :

Une atmosphère iodée qui, pour une fois, n'a pas pris. Je n'ai pas l'impression qu'il y en ai une. Si tout de fois, elle existe, elle est plus que longue à venir.

Le style :

Jusqu'à maintenant, j'aimais le style de l’auteur car je considérais qu'il est agréable à lire car il raconte des histoires vraisemblables et fascinantes. Mais avec ce roman, je me pose des questions. Je me suis ennuyé pendant ma lecture.

L’histoire ne m'a pas passionné, par rapport à ses autres romans déjà lus. Elle ne se met pas en place. Pourtant, de base, elle me paraissait intéressante.

Les personnages manque ce petit quelque chose que l'on s'attache à eux, d'une manière ou d'une autre.

Avis personnel :

Un roman dont je n'ai pas vu (ou su voir) le potentiel.

Faites- vous votre propre avis et n'hésitez pas à la partager.