Troisième humanité, tome 1 – Bernard Werber
Nombre de pages : 584
Édition : Albin Michel (3 octobre 2012)
Format : broché
L’auteur :
L’histoire :
La structure du récit :
Cette histoire se déroule dans un temps relatif et non dans un temps absolu. Elle se passe précisément dix ans, jour pour jour, après l’instant où vous ouvrirez ce roman et commencerez à le lire.
Les thèmes :
- possible futurs,
- rapetissement de l’espèce humaine,
- féminisation de l’espèce humaine.
Les personnages principaux :
David Wells : fils d’un professeur émérite. A vingt sept ans, il est biologiste spécialisé dans la réduction de plantes. Il va partir au Congo pour étudier les derniers pygmées. Il fait partie d’une étude pour l’évolution de l’espèce humaine.
Aurore Kammerer: elle part en Turquie pour étudier les dernières amazones. Pour elle, l’évolution de l’espèce humaine est la féminisation de celle-ci.
Le décor :
La planète possède une conscience, que l’humanité ne connaît pas. Les catastrophes naturelles sont une réaction normale de la Terre face à ses microbes, la maltraitant.
il se pose principalement en France et a quelques endroits par-ci, par-là.
La tonalité et l’atmosphère :
Il est philosophique, mais dans le sens abordable du terme. Elle nous permet de réfléchir sans prise de tête à comment évoluer et changer nos habitudes. Il nous impose pas son point de vue mais propose des pistes possibles, tout en nous incitant à penser au futurs possibles.
Le style :
Bernard Werber possède un style unique, atypique et inimitable. Les personnages sont bien développés, chacun apportant sa pierre à l’édifice et apportant des réflexions intéressantes sur la nature humaine. L'écriture de l’auteur est fluide et accessible, permettant aux lecteurs de s'immerger facilement dans l'histoire.
Avis personnel :
J’ai passé un excellent moment de lecture. Je recommande.